1. La poignée est généralement couverte de cuir pour bien adhérer à la paume.
2. Embout métallique qui permet de frapper par larrière de la nagaïka. Il est parfois lextrémité dun petit couteau ou stylet dissimulé dans le manche.
3. Lanière de cuir qui se partage entre la dragonne et lattache du fouet.
4. La dragonne terminée par un nud permet de garder la nagaïka toujours à portée de main.
5. Séparée de la dragonne par le manche, cette petite attache de cuir retient lextrémité du fouet pour une meilleure tenue au repos.
6. Courroie de cuir retenant larticulation du fouet. Elle est souvent fixée au manche à laide de clous ou de rivets.
7. Anneau métallique qui joint la lanière du fouet au manche.
8. Fanion de cuir destiné à la protection du cheval, afin quil ne se blesse pas avec les parties métalliques de la nagaïka.
9. Frange épaisse faite de fines courroies de cuir tissées en éventail dans la partie supérieure de la lanière du fouet. Cette décoration a aussi valeur de symbole par sa ressemblance à la queue du cheval.
10. Le fouet, partie de choc de la nagaïka, est fabriqué avec des courroies de cuir tressées autour dun épais cordon et se terminant sous forme dune pièce de cuir ou dun noeud.
11. La claque est la fin de la partie battante du fouet. Elle est souvent constituée dune pièce de cuir cousue qui permet dy introduire une charge de métal pour renforcer les coups.
A noter que la nagaïka dite de «Kouban» se distingue de celle du «Don» par une plus petite longueur et le moyen de la fixation du fouet au manche. Au contraire de lillustration ci-dessus, la lanière de cette nagaïka est directement enlacée au manche lui-même, dans son prolongement et sans aucune articulation.
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